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juin

  • Actualité de l'astronomie du 06.06.2021 / 2 nouvelles missions d'exploration de Vénus pour la Nasa.

    2 nouvelles missions d'exploration de Vénus pour la Nasa

     

    Par Sciences et Avenir avec AFP le 02.06.2021 à 22h47 Lecture 2 min.

    La Nasa a annoncé mercredi 2 juin 2021 deux nouvelles missions d'exploration de Vénus. Objectif de ces explorations de la planète la plus chaude du système solaire : mieux comprendre pourquoi elle est devenue le "monde infernal" qu'elle est aujourd'hui quand sa voisine, la Terre, est elle habitable.

    Vénus

    Une image de Vénus fournie par la Nasa

    NASA/JPL-CALTECH/AFP - -

    Les deux missions vénusiennes annoncée mercredi 2 juin 2021 par la Nasa sont baptisées Davinci+ et Veritas. Elles devraient décoller "dans la période 2028-2030", a précisé l'Agence spatiale américaine dans un communiqué. "Elles vont permettre à la communauté scientifique d'étudier une planète où nous n'avons pas été depuis 30 ans", a déclaré le nouvel administrateur de la Nasa, Bill Nelson, lors d'une allocution annuelle devant le personnel de l'agence spatiale.

    Un jour un océan sur Vénus ?

    "Il y a Mercure, la planète la plus proche du Soleil, qui n'a pas d'atmosphère. Ensuite il y a Vénus, avec une atmosphère incroyablement dense. Puis il y a la Terre, avec une atmosphère habitable", a-t-il listé. "Nous espérons que ces missions vont nous permettre de mieux comprendre comment la Terre a évolué, et pourquoi elle est actuellement habitable, quand d'autres (planètes) ne le sont pas." Davinci+ devra mesurer la composition de l'atmosphère de Vénus, et déterminer si elle a un jour eu un océan.

    Des nouvelles d'Artémis 1, la mission lunaire

    "La mission consiste en une sphère qui plongera dans l'épaisse atmosphère de la planète, en faisant des mesures précises des gaz nobles et d'autres éléments", a expliqué la Nasa. Veritas devra pour sa part étudier l'histoire géologique de la planète, en étant placée en orbite autour d'elle. La mission devra "retracer les reliefs sur quasiment toute la surface de la planète afin de créer une reconstruction en 3D de la topographie, et confirmer si des processus tels que la tectonique ou le volcanisme sont toujours à l'oeuvre", selon la Nasa. Veritas devra également déterminer si des volcans actifs rejettent de la vapeur d'eau dans l'atmosphère. Bill Nelson a par ailleurs confirmé que Artémis 1, la première mission du programme de retour sur la Lune des Etats-Unis, serait lancée "plus tard cette année".

    Source: https://www.sciencesetavenir.fr/espace/exploration/la-nasa-annonce-deux-nouvelles-missions-d-exploration-de-venus_154741

  • Actualité de l'astronomie du 06.06.2021 / Comment Ingenuity va rendre les opérations de Perseverance plus efficaces.

    Comment Ingenuity va rendre les opérations de Perseverance plus efficaces

     

    Rémy Decourt

    Journaliste

     

    Peut être une image de plein air et texte qui dit ’Ingenuity sur esol de Mars. © Nasa, JPL-Caltech Fermer’

    Publié le 04/06/2021

    10 choses à savoir sur Perseverance et Ingenuity | Futura

     [EN VIDÉO] 10 choses à savoir sur Perseverance et Ingenuity  Découvrez le résultat de la mission de deux ans supervisée par la Nasa : Mars 2020 ! 

    Après avoir démontré qu'un véhicule aérien pouvait voler dans le ciel de Mars, Ingenuity va réaliser des vols opérationnels, c'est-à-dire des vols utiles à la mission de Perseverance. Ces vols devront illustrer et tester les différentes possibilités de coopération avec le rover. Les explications de Jeff Delaune, chercheur en robotique spatiale et membre de l'équipe du système qui assure le contrôle du vol d'Ingenuity.

    Alors que les deux objectifs principaux d'Ingenuity ont été atteints, la Nasa a décidé d'une première prolongation de la mission de l’hélicoptère de 30 jours qui devait se terminer fin mai, début juin. Elle devait démontrer les « possibilités de coopération avec le rover Perseverance », nous explique Jeff Delaune, chercheur en robotique spatiale et membre de l'équipe GNC d'Ingenuity, (Guidage, Navigation and Control, le système qui assure le contrôle du vol de l'hélico). Pour rappel, le premier objectif était de réaliser le « premier vol contrôlé sur Mars en atterrissant en position stable et en sécurité » et le second « consistait à retourner sur Terre les données d'ingénierie des vols pour améliorer les futures missions aériennes dans le ciel martien ».

    VOIR AUSSIImpressionnant : écoutez Ingenuity voler dans le ciel de Mars !

    Pour l'heure, la Nasa n'a pas officiellement annoncé de nouvelle prolongation de la mission d'Ingenuity, mais « nous pensons que si tout continue de bien se passer sur le plan technique, l'engin pourrait durer pendant plusieurs mois, voire jusqu'à la conjonction de Mars prévue le 13 octobre ». À cette date, le passage de Mars derrière le Soleil va engendrer une interruption des liaisons radio entre la Terre et Mars « pendant laquelle il sera impossible de communiquer avec Ingenuity et donc de le faire voler ». Le principal souci est la « poussière qui pourrait recouvrir le panneau solaire de l'hélicoptère et donc l'empêcher de recharger ses chaufferettes nécessaires pour résister aux nuits martiennes ». Actuellement, la poussière est évacuée de façon quasi idéale lors des vols d'Ingenuity.

    La mission d'Ingenuity pourrait durer plusieurs mois encore. © Nasa, JPL-Caltech

    La mission d'Ingenuity pourrait durer plusieurs mois encore. © Nasa, JPL-Caltech 

    Des vols opérationnels pour Ingenuity

    Cette extension de la mission a comme principal objectif de démontrer « l'utilité et l'intérêt d'un véhicule aérien en complément d'un rover ou d'un lander » et comment l'utilisation de ce binôme pourrait « bénéficier à l'exploration future de Mars et d'autres mondes, avec à la clé de probables futurs projets aériens plus ambitieux » lors de vols opérationnels. Dans le cas de la mission Mars 2020, même si Ingenuity n'embarque pas d'instruments à bord, il peut apporter une valeur scientifique à la mission, « en aidant à décider des prochaines opérations du rover ». C'est le pari !

    Le saviez-vous ?

    Le système qui assure le contrôle du vol d’Ingenuity (GNC, Guidage, Navigation and Control) s’apparente à un « cerveau humain » qui volerait avec un des deux yeux fermé et donc sans la notion de la 3D ! Si l’on devait faire une analogie avec un Homme, on peut dire que l’altimètre fait office de règle qui corrige l’absence de profondeur et d'estimation des distances, la caméra serait l’œil et la centrale inertielle remplirait la fonction de l’oreille interne.

    Après le vol 6, qui a donné quelques sueurs froides à l'équipe, les prochains vols devraient se poursuivre avec un « rythme moins élevé que lors de la phase initiale avec deux vols par mois ». Ces vols seront consacrés à la collaboration avec Perseverance, et moins à repousser les limites d'Ingenuity. « Il ne faut donc probablement pas s'attendre à de nouveaux records de vitesse ou d'altitude ! » L'hélicoptère plafonnera sous les 10 mètres d'altitude et se contentera de voler à plus ou moins cinq mètres du sol et à des vitesses qui ne dépasseront probablement pas les cinq mètres par seconde. Pour garantir le contact radio avec le rover Perseverance, Ingenuity ne devrait pas s'en éloigner de plus d'un kilomètre.

    « Tracer des cartes, identifier des sites d'intérêt et apporter un point de vue complémentaire aux caméras du rover et d'orbiters » sont les objectifs qui paraissent les plus pertinents pour montrer « comment Ingenuity peut être utile à Perseverance ».

    Parmi les différentes possibilités de coopération entre un rover et un véhicule aérien, les points de vue que peuvent offrir les véhicules aériens peuvent améliorer le rendement des rovers. Cela permet d'identifier les sites d'intérêt, les obstacles ou tracer des cartes par exemple. Cette image a été acquise par Ingenuity depuis une hauteur de seulement quelques mètres et démontre tout l'intérêt de disposer d'un véhicule aérien. © Nasa, JPL-Caltech

    Parmi les différentes possibilités de coopération entre un rover et un véhicule aérien, les points de vue que peuvent offrir les véhicules aériens peuvent améliorer le rendement des rovers. Cela permet d'identifier les sites d'intérêt, les obstacles ou tracer des cartes par exemple. Cette image a été acquise par Ingenuity depuis une hauteur de seulement quelques mètres et démontre tout l'intérêt de disposer d'un véhicule aérien. © Nasa, JPL-Caltech 

    Dans le détail, les observations d'Ingenuity pourraient aider à « tracer des cartes et les chemins les plus efficaces », en matière de temps et de sécurité, qu'emprunterait Perseverance. Ingenuity pourrait aller « reconnaître des sites jusqu'à une distance de plusieurs centaines de mètres » que l'hélicoptère peut atteindre en seulement quelques minutes contre plusieurs jours pour le rover. Enfin, la « planification des déplacements du rover pourrait également être grandement améliorée ». Actuellement les déplacements du rover sont planifiés chaque jour en tenant compte des données fournies par les caméras du rover mais aussi des orbiters. Pour améliorer ce rendement, l'idée est qu'un point de vue intermédiaire, en l'occurrence Ingenuity, pouvant se projeter en avant du rover, « permettrait de reconstruire le chemin à parcourir avec plus de précision ».

    Source: https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/perseverance-ingenuity-va-rendre-operations-perseverance-plus-efficaces-87813/?utm_content=buffer8f1b1&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=futura&fbclid=IwAR3x_o586d2s3Sk8vqQtFxBm2QFju8MTv27nTdJYjCr8NJnGAjV6ovQzEnE

  • Actualité de l'astronomie du 03.06.2021 / Le télescope spatial James Webb promet un « bond en avant pour l’astronomie »

    Le télescope spatial James Webb promet un « bond en avant pour l’astronomie »

     

     

    Rémy Decourt

    Journaliste

     

    Peut être une image de intérieur et texte qui dit ’NORTHR GRUM UNT 3220 observatoire James-Webb, en décembre 2020 La taille des hommes qui s'affairent autour permet de prendre conscience de la taille hors norme de cet observatoire © Nasa, Chris Gunn’

     

    Publié le 02/06/2021

     

     

    Le James Webb Space Telescope, présenté comme le grand frère d'Hubble plutôt que son successeur, semble toujours dans les temps pour un lancement par une Ariane 5 d'ici la fin de l'année. Cet observatoire montrera tout son potentiel en observant les premiers objets formés seulement une centaine de millions d'années après la formation de l'Univers, ce qui est aujourd'hui la limite des capacités d'Hubble. Le JWST devrait permettre de grandes avancées.

     

     

    Mission hors normes. Le James-Webb (JWST, pour James Webb Space Telescope) est le plus grand télescope astronomique jamais lancé dans l'espace. Cet instrument, fruit de la collaboration entre les agences spatiales - NasaESA et ASC - doit observer une très grande variété de cibles dont les objets visibles les plus lointains jamais recensés. Très peu lumineux et quasiment invisibles pour le télescope Hubble, ils sont la raison d'être du James-Webb qui devrait s'approcher aussi près que possible de la fin de la période dite des âges sombres, la phase d'inflation qui a engendré les grandes structures et les premiers objets de l'Univers. Si le James-Webb pourra voir ces premiers objets seulement une centaine de millions d'années après leur formation, le graal des astronomes, néanmoins il ne pourra pas les voir « s'éclairer », à la sortie des âges sombres.

    Une remontée dans le temps jusqu’au graal des astronomes

    Comme nous l'a expliqué Pierre Ferruit, le co-responsable scientifique de la mission du James-Webb à l'ESA, les plus grandes découvertes du JWST sont « celles auxquelles on ne peut évidemment pas s'attendre ni imaginer ». Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que cet observatoire représente un « tel bond en avant pour l'astronomie », qu'il y aura forcément des découvertes « dans tous les domaines de l'astronomie ». À cela s'ajoute que si le télescope Hubble atteint ses limites quand il s'agit d'observer des objets formés seulement quelques centaines de millions d'années après le Big Bang, « c'est vraiment là que le JWST va montrer toute l'étendue de ses capacités et apporter énormément à la connaissance de cette période charnière de l'histoire de l'Univers, seulement quelques centaines de millions d'années après le Big Bang ».

    Le « Webb » sera tout simplement le plus grand télescope astronomique jamais lancé dans l’espace

    Les dimensions du James-Webb sont difficiles à appréhender. Rendez-vous compte, avec une taille de plus de 20 mètres, un miroir primaire de 6,5 mètres et un bouclier thermique (pare-soleil) aussi grand qu'un cours de tennis, le « Webb » sera tout simplement le plus grand télescope astronomique jamais lancé dans l'espace. Avec de telles dimensions, son lancement ne peut se faire que plié pour le faire tenir à l'intérieur de la coiffe du lanceur Ariane 5. S'il surpasse évidemment tous ceux précédemment lancés dans l'espace, il fait jeu égal avec certains observatoires terrestres et surpasse tous les instruments terrestres qui fonctionnent dans l'infrarouge, avec un gain de 10 à 100 !

    Des images iconiques qui seront revisitées

    Si auprès du grand public les images d'Hubble, dont certaines sont devenues iconiques comme celles de la Nébuleuse de l'Aigle ou les champs profonds, ont énormément aidé à la popularité de l'astronomie, à ne pas en douter le James-Webb accentuera cette tendance. D'ores et déjà, on sait que ces images iconiques seront revisitées par Webb, avec à la clé de nouvelles informations.

    La nébuleuse de l'Aigle, une des images iconiques d'Hubble. © Nasa, ESA, STCI, ASU

    La nébuleuse de l'Aigle, une des images iconiques d'Hubble. © Nasa, ESA, STCI, ASU 

    Avec le retour en vol d'Ariane 5 prévu dès le mois de juillet, le James-Webb sera lancé d'ici la fin de l'année, au mieux fin novembre, début décembre.

    Les premières images sont prévues en juin 2022

    Si un mois lui sera nécessaire pour rejoindre sa position au point de Lagrange L2, situé à 1,5 million de kilomètres de notre Planète, soit environ quatre fois plus loin que la Lune, six mois seront nécessaires aux responsables de la mission pour le mettre en service. Les premières images sont prévues en juin 2022. Le déploiement du miroir sera réalisé tout au long du voyage qui le mènera à L2.

    VOIR AUSSIDes pannes sur Ariane 5 pourraient reporter le lancement du télescope spatial James-Webb

    Un promontoire exceptionnel pour observer l’Univers

    Ce point de Lagrange 2 n'a évidemment pas été choisi au hasard. C'est un promontoire exceptionnel pour observer l'espace lointain, à l'écart du Soleil et de la Terre, qui doit permettre au James-Webb d'atteindre des objectifs scientifiques très ambitieux. À cette distance, le télescope et ses quatre instruments (dont deux sont fournis par l'Europe), à l'ombre d'un bouclier thermique, fonctionneront en permanence à -253 °C, une température proche du zéro absolu, fixé à -273,15 °C.

    Le miroir segmenté du James-Webb et son bouclier thermique en cours de repliement pour être embarqué à bord d'Ariane 5. © Nasa, Chris Gunn

    Le miroir segmenté du James-Webb et son bouclier thermique en cours de repliement pour être embarqué à bord d'Ariane 5. © Nasa, Chris Gunn 

    Vous l'aurez compris, le principal intérêt de L2 c'est que le Soleil, la Terre et la Lune seront constamment « derrière » le pare-soleil, de sorte que le télescope et ses instruments seront constamment dans le froid et le noir. Au fur et à mesure que le JWST va accompagner la Terre autour du Soleil, tous les endroits du ciel vont devenir observables sur des périodes d'au moins 50 jours. La totalité du ciel sera donc accessible aux astronomes au cours de l'année, à l'exception du Système solaire interne, c'est-à-dire le Soleil, MercureVénus et la Terre.

    Cet observatoire spatial doit fonctionner pendant au moins cinq ans. Il a suffisamment de « carburant » pour fonctionner pendant 10 ans.

     

     

     

    Source: https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/telescope-spatial-telescope-spatial-james-webb-promet-bond-avant-astronomie-87757/?utm_content=buffer404eb&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=futura&fbclid=IwAR3cXaByIx-loNZXb5Szh4WWr9ewFxsInJwgAjw9LCCpOv_TtufdEyaImqA

  • Actualité de l'astronomie du 03.06.2021 / Perseverance a déjà passé 100 sols sur Mars.

    Perseverance a déjà passé 100 sols sur Mars

     

     

    Marie Origas

    Journaliste

     

     

     

     

    Publié le 02/06/2021 à 18h05

    Vie sur Mars : retour sur les grandes étapes de l'exploration martienne | Futura

     [EN VIDÉO] Vie sur Mars : retour sur les grandes étapes de l'exploration martienne  La quête de la vie sur Mars est une histoire fascinante et pleine de rebondissements, témoignant de l'attrait inéluctable que nous possédons pour cette planète au mille visages. Retour sur quelques grandes étapes de l'exploration martienne. 

     

    Depuis le 1er juin, cela fait 100 sols (jours martiens) que la mission Perseverance a commencé. Le rover et l'hélicoptère Ingenuity ont bien travaillé, depuis qu'ils ont atterri le 18 février à l'intérieur du cratère Jezero de Mars, après un voyage de sept mois dans l'espace. Mais ce n'est que le début. La mission doit durer au moins une année martienne -- 687 jours sur Terre, donc environ 2 ans.

     

     Kevin M. Gill

    @kevinmgill

     

    A pan across Jezero Crater using a wide panoramic view taken by @NASAPersevere Mastcam-Z on Sol 96. Rendered sorta slow. Take your time will all that detail!

    4:20 AM · 1 juin 2021 depuis Santa Clarita, CA

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    Panorama de l'intérieur du cratère Jezero.

    Pour l'occasion, voici une petite rétrospective des exploits réalisés sur la planète rouge : 

    Test des six instruments du rover 

    Plus de 75.000 images capturées par les caméras 

    Premier son martien (bourrasque de vent) enregistré 

    Déploiement d'Ingenuity

    Fabrication d'oxygène, avec l'air martien pour seul ingrédient, grâce à l'instrument Moxie

    Analyse de la composition chimique et minéralogique de la surface martienne avec le laser de la SuperCam 

     

    NASA's Perseverance Mars Rover

     

    @NASAPersevere

     

    100 days (sols) on Mars, and feeling productive:

     

    Tested all cameras & instruments

     

    Returned 75,000+ pics

     

    Deployed #MarsHelicopter & captured its flights

     

    GIF

    4:53 PM · 1 juin 2021

     

     

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    En attendant, les prochaines découvertes, l'exploration de Mars continue : « Comme il n'y a pas encore de carte martienne, je construis la mienne au fur et à mesure. Il y a beaucoup d'endroits que je veux explorer, et cartographier pendant que je conduis m'aidera à voir et à faire plus. Que le road-trip commence » avait tweeté le Rover de Perseverance. 

    Affiche montrant le SkyCrane débarquant Perseverance sur Mars. © Nasa

    Affiche montrant le SkyCrane débarquant Perseverance sur Mars. © Nasa 

     

     

     

     

     

    Source: https://www.futura-sciences.com/sciences/breves/perseverance-perseverance-deja-passe-100-sols-mars-4451/?utm_content=bufferc0695&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=futura&fbclid=IwAR1ogzaoevs6DZHWntWKTVJ82cKDZmKoWQYqd144-YUl4K_hFhOz0IEx0UU

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