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  • LE 4.05.2020: Actualité de l'astronomie / Vénus : le mystère de la super-rotation de son atmosphère enfin résolu ?

    Vénus : le mystère de la super-rotation de son atmosphère enfin résolu ?

     

    Laurent Sacco

    Journaliste

    Vénus tourne sur elle-même en 243 jours terrestres alors que son atmosphère n'en met que 4. Cette super-rotation peut s'expliquer par des effets de marée thermiques et c'est bien ce que semblent confirmer des observations menées avec la sonde japonaise Akatsuki.

    La planète Vénus a presque la même taille et la même masse que la Terre. Il n'est donc pas difficile de comprendre qu'elle ait alimenté un temps des spéculations concernant l'existence de formes de vie à sa surface quand on a réalisé qu'elle était recouverte d'une atmosphère, et cachée par des nuages que les astronomes de jadis interprétaient comme un signe probable d'un climat humide et chaud, avec des océans et des marécages.

    On doit la découverte de cette atmosphère au polymathe russe, Mikhaïl Vassilievitch Lomonossov, lorsqu'il fit l'observation du transit de Vénus devant le Soleil en 1761 depuis l'observatoire de Saint-Pétersbourg. Son existence était déduite de la mise en évidence d'un effet de réfraction de la lumière solaire à ce moment-là qui ne pouvait s'expliquer que par la présence d'une épaisse atmosphère... pour le malheur des astronomes et des planétologues car il fallut en effet attendre le début des années 1960 pour que des informations sur sa surface soient enfin obtenues à l'aide d'ondes radar capables de percer cette atmosphère par des chercheurs états-uniens.

    Toutefois, dès 1958, des radioastronomes avaient capté des signaux provenant de l'atmosphère de Vénus y suggérant une température de l'ordre de 600 kelvins, proche du point de fusion du plomb. Peu de temps après, le jeune Carl Sagan montra que, sur Vénus, un effet de serre, du fait de la forte concentration en CO2 de son atmosphère, devait bien y produire des températures infernales. L'hypothèse a été confirmée par les premières sondes spatiales à s'approcher de la planète, à savoir Mariner 2 (USA) et Venera 4 (URSS), respectivement en 1962 et 1967. Aujourd'hui, la pression au sol est estimée à environ 90 atmosphères (90 fois celle de la Terre, donc) et la température à quelque 750 kelvins (soit environ 480 °C) pour les régions les plus chaudes.

    Vénus, notre mystérieuse voisine. Une planète étrange où le soleil se lève à l'ouest et se couche à l'est et où une journée dure quasiment une année terrestre. La mission Vénus Express de l'ESA (Agence spatiale européenne) a passé les huit dernières années à collecter des données pour permettre à la science d'en savoir plus sur l'atmosphère et le climat de la planète. © European Space Agency, ESA

    Un jour vénusien qui dure presque une année vénusienne

    Mais ce sont les Russes, grâce au légendaire génie et au talent de leurs ingénieurs, qui vont fournir les premières images de la surface de Vénus à l'occasion en particulier des missions Venera 9, 10, 13 et 14 ; malheureusement, celles-ci n'ont pas résisté longtemps aux conditions infernales de la surface de Vénus, comme on s'en doutait. Les images montraient clairement des sols volcaniques. Cette conclusion n'a été que renforcée par la première cartographie radar complète à relativement haute résolution de l'étoile du Berger, dressée à l'aide de la sonde Magellan de la Nasa, à partir de 1990 et pendant les quelques années de sa mission qui a pris fin en 1994.

    L'étude de l'atmosphère de Vénus s'est révélée tout aussi surprenante pendant cette période lorsque l'on a découvert à partir des années 1960 qu'elle était dans un état dit de super-rotation. L'Homme s'en est rendu compte lorsque la vitesse de rotation de Vénus sur elle-même a été déterminée au radar depuis la Terre. Elle est particulièrement lente : un jour vénusien dure environ 243 jours terrestres (l'année vénusienne dure 225 jours terrestres).

    Or, les missions spatiales ont permis de mesurer les vitesses des vents dans son atmosphère. Ces derniers dépassent les 300 km/h, l'atmosphère fait ainsi le tour de Vénus en environ quatre jours terrestres, bien plus rapidement que ne tourne sur elle-même la planète, ce qui explique le terme de super-rotation utilisé pour qualifier son état.

    Mentionnons également que la rotation de Vénus n'est pas simplement surprenante parce qu'elle est lente, elle l'est aussi parce qu'elle est dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui est à l'inverse de toutes les autres planètes du Système solaire ou presque (Uranus est aussi dans ce cas).

    Vénus sous l’œil de la caméra UV1 de la sonde Akatsuki. Image traitée par Damia Bouic. Les pôles sont plus calmes que les régions tropicales. © Jaxa, Isas, Darts, Damia Bouic

    Vénus sous l’œil de la caméra UV1 de la sonde Akatsuki. Image traitée par Damia Bouic. Les pôles sont plus calmes que les régions tropicales. © Jaxa, Isas, Darts, Damia Bouic 

    On cherche à comprendre l'origine de la super-rotation de l'atmosphère de Vénus depuis des décennies et, aujourd'hui, une équipe internationale de chercheurs dirigée par Takeshi Horinouchi de l'Université d'Hokkaido vient de publier dans le célèbre journal Science un article où une solution à cette énigme est proposée. Elle se base sur des observations et des mesures rendues possibles par la sonde japonaise Akatsuki qui, avec ses yeux sur orbite autour de Vénus, l'étudie dans l'infrarouge et l'ultraviolet depuis 2015. Les instruments utilisés ont ainsi permis de suivre les mouvements des nuages et de mesurer les vitesses de vents de façon précise comme jamais auparavant.

    Des forces de marée thermiques

    Les chercheurs japonais sont arrivés à la conclusion que les données de leur sonde soutenaient une hypothèse déjà avancée pour rendre compte de la grande vitesse de rotation de l'atmosphère de Vénus qui nécessite un transfert de moment cinétique pour la maintenir malgré des forces de frottements avec la surface de la planète dont la rotation est ralentie par les forces de marée exercées par le Soleil qui tentent d'établir une rotation synchrone pour Vénus.

    Effet de marée thermique exercé par le Soleil sur Vénus. © J. Laskar, IMCCE/CNRS, Observatoire de Paris

    Effet de marée thermique exercé par le Soleil sur Vénus. © J. Laskar, IMCCE/CNRS, Observatoire de Paris  

    Il s'agit là aussi de faire intervenir ces forces de marée mais sous une forme un peu particulière que l'on appelle des forces de marée thermique. Elles résultent du fait que, face au Soleil et à son rayonnement, l'atmosphère de Vénus tend à se dilater alors que c'est le contraire pour sa face nocturne. Il se produit des transferts de chaleurs entre les deux faces et surtout un réajustement des pressions de sorte que l'atmosphère se renfle presque perpendiculairement à la direction du Soleil. C'est sur ce renflement que les forces de marée du Soleil vont agir avec, comme effet final, de maintenir par le couple qu'elle exerce la super-rotation de l'atmosphère comme le montre le schéma ci-dessus.

    « Notre étude pourrait aider à mieux comprendre les systèmes atmosphériques sur des exoplanètes en rotation synchrone à cause des forces de marées, dont un côté fait toujours face à leurs étoile et qui, comme Vénus, ont une très longue journée solaire », conclue Takeshi Horinouchi.

    Source: https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/venus-venus-mystere-super-rotation-son-atmosphere-enfin-resolu-80732/?fbclid=IwAR3jhuM2qZWz6gMI-mH1S5xE25irxoWRkSZUZzMg8jtADsx-7ISJV8K9EKg#utm_content=futura&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=futura

  • LE 29.04.2020: Actualité de l'astronomie / Vénus : le mystère de la super-rotation de son atmosphère enfin résolu ? Laurent Sacco Journaliste.

    Vénus : le mystère de la super-rotation de son atmosphère enfin résolu ?

     

    Laurent Sacco

    Journaliste

     

     

    Publié le 27/04/2020

    Vénus tourne sur elle-même en 243 jours terrestres alors que son atmosphère n'en met que 4. Cette super-rotation peut s'expliquer par des effets de marée thermiques et c'est bien ce que semblent confirmer des observations menées avec la sonde japonaise Akatsuki.

    La planète Vénus a presque la même taille et la même masse que la Terre. Il n'est donc pas difficile de comprendre qu'elle ait alimenté un temps des spéculations concernant l'existence de formes de vie à sa surface quand on a réalisé qu'elle était recouverte d'une atmosphère, et cachée par des nuages que les astronomes de jadis interprétaient comme un signe probable d'un climat humide et chaud, avec des océans et des marécages.

    On doit la découverte de cette atmosphère au polymathe russe, Mikhaïl Vassilievitch Lomonossov, lorsqu'il fit l'observation du transit de Vénus devant le Soleil en 1761 depuis l'observatoire de Saint-Pétersbourg. Son existence était déduite de la mise en évidence d'un effet de réfraction de la lumière solaire à ce moment-là qui ne pouvait s'expliquer que par la présence d'une épaisse atmosphère... pour le malheur des astronomes et des planétologues car il fallut en effet attendre le début des années 1960 pour que des informations sur sa surface soient enfin obtenues à l'aide d'ondes radar capables de percer cette atmosphère par des chercheurs états-uniens.

    Toutefois, dès 1958, des radioastronomes avaient capté des signaux provenant de l'atmosphère de Vénus y suggérant une température de l'ordre de 600 kelvins, proche du point de fusion du plomb. Peu de temps après, le jeune Carl Sagan montra que, sur Vénus, un effet de serre, du fait de la forte concentration en CO2 de son atmosphère, devait bien y produire des températures infernales. L'hypothèse a été confirmée par les premières sondes spatiales à s'approcher de la planète, à savoir Mariner 2 (USA) et Venera 4 (URSS), respectivement en 1962 et 1967. Aujourd'hui, la pression au sol est estimée à environ 90 atmosphères (90 fois celle de la Terre, donc) et la température à quelque 750 kelvins (soit environ 480 °C) pour les régions les plus chaudes.

    Vénus, notre mystérieuse voisine. Une planète étrange où le soleil se lève à l'ouest et se couche à l'est et où une journée dure quasiment une année terrestre. La mission Vénus Express de l'ESA (Agence spatiale européenne) a passé les huit dernières années à collecter des données pour permettre à la science d'en savoir plus sur l'atmosphère et le climat de la planète. © European Space Agency, ESA

    Un jour vénusien qui dure presque une année vénusienne

    Mais ce sont les Russes, grâce au légendaire génie et au talent de leurs ingénieurs, qui vont fournir les premières images de la surface de Vénus à l'occasion en particulier des missions Venera 9, 10, 13 et 14 ; malheureusement, celles-ci n'ont pas résisté longtemps aux conditions infernales de la surface de Vénus, comme on s'en doutait. Les images montraient clairement des sols volcaniques. Cette conclusion n'a été que renforcée par la première cartographie radar complète à relativement haute résolution de l'étoile du Berger, dressée à l'aide de la sonde Magellan de la Nasa, à partir de 1990 et pendant les quelques années de sa mission qui a pris fin en 1994.

    L'étude de l'atmosphère de Vénus s'est révélée tout aussi surprenante pendant cette période lorsque l'on a découvert à partir des années 1960 qu'elle était dans un état dit de super-rotation. L'Homme s'en est rendu compte lorsque la vitesse de rotation de Vénus sur elle-même a été déterminée au radar depuis la Terre. Elle est particulièrement lente : un jour vénusien dure environ 243 jours terrestres (l'année vénusienne dure 225 jours terrestres).

    Or, les missions spatiales ont permis de mesurer les vitesses des vents dans son atmosphère. Ces derniers dépassent les 300 km/h, l'atmosphère fait ainsi le tour de Vénus en environ quatre jours terrestres, bien plus rapidement que ne tourne sur elle-même la planète, ce qui explique le terme de super-rotation utilisé pour qualifier son état.

    Mentionnons également que la rotation de Vénus n'est pas simplement surprenante parce qu'elle est lente, elle l'est aussi parce qu'elle est dans le sens des aiguilles d'une montre, ce qui est à l'inverse de toutes les autres planètes du Système solaire ou presque (Uranus est aussi dans ce cas).

    Vénus sous l’œil de la caméra UV1 de la sonde Akatsuki. Image traitée par Damia Bouic. Les pôles sont plus calmes que les régions tropicales. © Jaxa, Isas, Darts, Damia Bouic

    Vénus sous l’œil de la caméra UV1 de la sonde Akatsuki. Image traitée par Damia Bouic. Les pôles sont plus calmes que les régions tropicales. © Jaxa, Isas, Darts, Damia Bouic 

    On cherche à comprendre l'origine de la super-rotation de l'atmosphère de Vénus depuis des décennies et, aujourd'hui, une équipe internationale de chercheurs dirigée par Takeshi Horinouchi de l'Université d'Hokkaido vient de publier dans le célèbre journal Science un article où une solution à cette énigme est proposée. Elle se base sur des observations et des mesures rendues possibles par la sonde japonaise Akatsuki qui, avec ses yeux sur orbite autour de Vénus, l'étudie dans l'infrarouge et l'ultraviolet depuis 2015. Les instruments utilisés ont ainsi permis de suivre les mouvements des nuages et de mesurer les vitesses de vents de façon précise comme jamais auparavant.

    Des forces de marée thermiques

    Les chercheurs japonais sont arrivés à la conclusion que les données de leur sonde soutenaient une hypothèse déjà avancée pour rendre compte de la grande vitesse de rotation de l'atmosphère de Vénus qui nécessite un transfert de moment cinétique pour la maintenir malgré des forces de frottements avec la surface de la planète dont la rotation est ralentie par les forces de marée exercées par le Soleil qui tentent d'établir une rotation synchrone pour Vénus.

    Effet de marée thermique exercé par le Soleil sur Vénus. © J. Laskar, IMCCE/CNRS, Observatoire de Paris

    Effet de marée thermique exercé par le Soleil sur Vénus. © J. Laskar, IMCCE/CNRS, Observatoire de Paris  

    Il s'agit là aussi de faire intervenir ces forces de marée mais sous une forme un peu particulière que l'on appelle des forces de marée thermique. Elles résultent du fait que, face au Soleil et à son rayonnement, l'atmosphère de Vénus tend à se dilater alors que c'est le contraire pour sa face nocturne. Il se produit des transferts de chaleurs entre les deux faces et surtout un réajustement des pressions de sorte que l'atmosphère se renfle presque perpendiculairement à la direction du Soleil. C'est sur ce renflement que les forces de marée du Soleil vont agir avec, comme effet final, de maintenir par le couple qu'elle exerce la super-rotation de l'atmosphère comme le montre le schéma ci-dessus.

    « Notre étude pourrait aider à mieux comprendre les systèmes atmosphériques sur des exoplanètes en rotation synchrone à cause des forces de marées, dont un côté fait toujours face à leurs étoile et qui, comme Vénus, ont une très longue journée solaire », conclue Takeshi Horinouchi.

    Source: https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/venus-venus-mystere-super-rotation-son-atmosphere-enfin-resolu-80732/?fbclid=IwAR1GjuM4VsAwOUgYu2qKITpXJqVeFZFfZ-Tvn-CihFw-hnmCGIUojppCAIk#utm_content=futura&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=futura

     

  • LE 8.02.2020: Actualité de la météo,de l'astronomie et de la science/ Vénus : nous entrons dans la meilleure période pour l’observer.

    Vénus : nous entrons dans la meilleure période pour l’observer

     

    Xavier Demeersman

    Journaliste

    Ces prochaines semaines, notre belle voisine, Vénus, sera de plus en plus incandescente dans la nuit, et ce, de plus en plus longtemps, jusqu'à trois heures après le coucher du Soleil. 

     

    Avez-vous remarqué comme Vénus brille dans le ciel en ce moment ? Oui, sans aucun doute car il est impossible, depuis son retour au début de l'automne 2019, de ne pas la remarquer dès que l'on met un pied dehors le soir.

    Surnommée l'étoile du berger, notre voisine est une reine de beauté voluptueuse qui n'a pas usurpé son nom de déesse. Et plus les jours passent, plus elle s'attarde dans la nuit étoilée, narguant au passage Siriusl’étoile la plus brillante du ciel (magnitude -1.4). La déesse de l'Amour est, après la Lune, l'objet le plus brillant de la nuit. Par la grâce surtout, ce corps aussi grand que la Terre, est proche de nous. Et tout dépend aussi de sa phase, c'est-à-dire de la partie visible depuis notre monde qui réfléchit la lumière du Soleil.

    Vénus au crépuscule, depuis son retour dans le ciel à la fin de l'été 2019. L'animation montre l'évolution de sa hauteur au-dessus de l'horizon, ses changements de phase et de sa taille apparente au fur et à mesure que sa distance avec la Terre diminue. © ShadowsandSubsance, Vimeo

    Vénus va briller de plus en plus jusque fin avril

    En ce début du mois de février, et bien que distante de quelque 157 millions de kilomètres de nous (c'est-à-dire autant que la distance Terre-Soleil), sa magnitude arbore fièrement un -4.1. Et son éclat va encore continuer à augmenter au cours des prochaines semaines, jusqu'à culminer à -4.5 le 28 avril. Ce jour-là, la « sœur de la Terre » ne sera plus qu'à 66 millions de kilomètres, soit 3,7 minutes-lumière.

    À cette date, la planète rocheuse sera encore haute dans le ciel (35°, contre 32° le 6 février), ce qui veut dire qu'on pourra la contempler durant plus de trois heures après le coucher du Soleil.

    Les soirées les plus longues à passer en sa compagnie seront entre le 17 mars et le 6 avril -- plus grande élongation le 24 mars --, elle culminera alors à 41° au-dessus de l'horizon -- sa magnitude sera de -4.4.

    La lumière de Vénus est suffisante pour projeter une ombre. La preuve avec cette photo prise par un astronome amateur le 18 janvier 2020. © Noel Keating, Spaceweather.com

    La lumière de Vénus est suffisante pour projeter une ombre. La preuve avec cette photo prise par un astronome amateur le 18 janvier 2020. © Noel Keating, Spaceweather.com 

    Vénus est magnifique à admirer à l'œil nu parmi les étoiles lointaines qui l'entourent. Dans une lunette ou un télescope, vous pourrez contempler sans difficultés ses phases. Ces temps-ci, de gibbeuse, elle passe progressivement à un croissant qui sera au plus fin, fin mai. Ensuite, « l'étoile du soir » Vesper, de plus en plus basse au-dessus de l'horizon, disparaîtra du ciel terrestre pour des « noces » avec le Soleil. Elle « renaîtra » en Lucifer, « l'étoile du matin », début juillet.

    Vénus va flirter avec les Pléiades

    L'un des plus beaux moments de ce voyage de Vénus dans le ciel du soir, incontournable et en dehors de ses rencontres avec la Lune, sera sa visite aux « Sept Sœurs », les Pléiades, le 2 avril. Un spectacle à admirer à l'œil nu et aux jumelles, le plus loin possible de toute pollution lumineuse. De plus, vous pourrez remarquer que l'éclat intense de Vénus projette de délicates ombres (voire photo ci-dessous).

    La Lune et Vénus se reflètent sur la mer, à Santa Marinella, près de Rome. © Apod (Nasa), Filippo Curti (Sanderphil Urban Observatory)

    La Lune et Vénus se reflètent sur la mer, à Santa Marinella, près de Rome. © Apod (Nasa), Filippo Curti (Sanderphil Urban Observatory).

    Source: https://www.futura-sciences.com/
    Lien: https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronomie-venus-nous-entrons-meilleure-periode-observer-79505/?fbclid=IwAR0nPZlXQT6VOR4cHLV2QOPN6DUwTyZ78ZbpUpk4qjUSyZlZARvJKhwi8Nk#utm_content=futura&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=futura 

  • LE 15.01.2020: Actualité de la météo,de l'astronomie et de la science/Observez le ciel de janvier 2020 Vénus rencontre Neptune.

    Observez le ciel de janvier 2020

    Vénus rencontre Neptune

    Par Martin Ratcliffe , Alister Ling  | Publication: mardi 7 janvier 2020

    SUJETS CONNEXES: OBSERVATION

    ASYSM0120_01

    Un météore quadrantide brillant divise le ciel sous la Grande Ourse dans cette scène du sommet de la pluie de 2016.

    Alan Dyer

    À l'ouverture de 2020, Vénus illumine le ciel sud-ouest peu de temps après le coucher du soleil. Il subit une rare conjonction étroite avec Neptune au cours de la dernière semaine de janvier, lorsque les deux mondes apparaissent dans le même champ de vision télescopique. Mais Neptune et son frère du système solaire externe, Uranus, restent des cibles de soirée relativement faciles tout le mois. La plupart des autres planètes habitent le ciel avant l'aube. Mars se lève en premier et s'éloigne de l'horizon sud-est au moment où le crépuscule commence, tandis que Jupiter et Saturne réapparaissent à la fin de janvier.

    Commençons notre visite alors que le ciel commence à s'assombrir. Le premier soir du Nouvel An, Vénus brille brillamment au-dessus de l'horizon sud-ouest. La planète de magnitude –4,0 s'élève à 16 ° de hauteur une heure après le coucher du soleil. Un croissant de lune croissant de six jours apparaît au-dessus au-dessus dans le sud, tandis que les étoiles du triangle d'été en difficulté saisonnière plongent bas à l'ouest et au nord-ouest.

    Vénus

    Vénus illumine les soirées de janvier

    La brillante planète intérieure domine le ciel sud-ouest peu de temps après le coucher du soleil jusqu'à ce qu'elle se midevenant.

    Toutes les illustrations: Astronomie: Roen Kelly

    Vénus se trouve alors parmi les faibles étoiles de fond du Capricorne central. Mais son mouvement régulier vers l'est ce mois-ci le porte dans la constellation tout aussi indéfinissable du Verseau le 11 janvier. Il s'approche du bord est du Porteur d'eau à la fin du mois, mettant en place une rencontre remarquable avec Neptune. Vénus sert de panneau flamboyant pour vous aider à trouver la planète lointaine, en particulier les soirs des 26 et 27 janvier.

    Voici comment trouver le Neptune normalement insaisissable: Alors que l'obscurité tombe le 26, visez Vénus avec des jumelles ou un télescope à faible puissance. Notez l'étoile de 4e magnitude Phi (4th) Aquarii à 1,4 ° au-dessus. Neptune se trouve aux deux tiers du chemin de Vénus à Phi. La planète extérieure apparaît comme un point faible, brillant à la magnitude 7,9. Ne le confondez pas avec l'étoile légèrement plus brillante qui se trouve à 0,5 ° à sa droite.

    Neptune se révèle plus facile à trouver la nuit suivante, lorsqu'elle passe à seulement 5 pieds au nord de Vénus - l'approche la plus proche entre ces deux planètes depuis janvier 1984. La conjonction se produit à 14 heures HNE, ce qui place l'Europe occidentale dans le meilleur endroit d'observation. Au moment où la nuit tombe à travers l'Amérique du Nord quelques heures plus tard, Neptune se trouve à 12 'à l'ouest de Vénus tandis que Phi se trouve à une distance presque égale de l'est-nord-est de Vénus. Bien que des jumelles 10x50 séparent les trois objets, Neptune peut être un défi à voir dans les reflets de Vénus. Un télescope montre le trio beaucoup plus clairement.

    Comme pour attirer l'attention sur cette extraordinaire conjonction, un mince croissant de lune apparaît à 7 ° sous les deux planètes. Les imageurs devraient profiter de l'occasion pour capturer la scène avec des objets de premier plan attrayants.

    Bien que les deux mondes apparaissent proches l'un de l'autre dans notre ciel, une grande étendue d'espace les sépare. Vénus réside dans le système solaire intérieur, plus près du Soleil que de la Terre, et se trouve à 104 millions de kilomètres de nous au moment de la conjonction. Neptune est la planète principale la plus éloignée du système solaire et se trouve à 2,85 milliards de kilomètres. Ces distances affectent considérablement ce que vous voyez à travers un télescope. Malgré un diamètre physique quatre fois plus grand que Vénus, Neptune n'apparaît que de 2,2 "de diamètre tandis que Vénus s'étend sur 15".

    neptuneandvenus

    Une conjonction pour les âges

    Le soir du 27 janvier, Vénus passe à quelques minutes d'arc de Neptune éloigné dans son approche la plus proche depuis 1984.

    L'apparence de Neptune reste stable tout au long de janvier, mais Vénus montre des changements subtils à un œil averti. Le 1er janvier, le disque de la planète intérieure mesure 13,1 "de diamètre et apparaît à 82% éclairé. Au 31, Vénus s'étend sur 15,3" et le Soleil illumine 74% de son hémisphère orienté vers la Terre. (Le disque est plus net si vous le voyez au crépuscule, évitant ainsi l'éblouissement intense entre une planète brillante et le ciel sombre.) Envisagez de faire un croquis au crayon du disque dans votre cahier d'observation toutes les deux semaines. Si vous continuez ainsi jusqu'à la fin de l'apparition actuelle du soir en mai, vous aurez un bon enregistrement de la taille croissante et de la phase décroissante de la planète.

    Pendant que vous attendez que le ciel s'assombrisse et que Neptune émerge, abaissez votre regard vers l'horizon. C'est là que vous trouverez Mercure au cours de la dernière semaine de janvier. Votre première occasion de le voir arrive le 25. Si vous avez un ciel clair et un horizon dégagé vers l'ouest-sud-ouest, recherchez un croissant de lune mince comme une tranche de 3 ° 30 minutes après le coucher du soleil. Une fois que vous l'avez trouvé, recherchez la magnitude -1,1 de Mercure 2 ° à sa droite. Vous n'aurez que 10 minutes environ pour les attraper avant qu'ils ne disparaissent.

    Vos chances de repérer Mercure s'améliorent à mesure que le mois se termine, car il gagne près de 1 ° d'altitude chaque jour qui passe si vous observez en même temps par rapport au coucher du soleil. Le 31, la planète s'élève à 6 ° de hauteur une demi-heure après le coucher du soleil. Son altitude doublera presque au moment où elle atteindra son plus grand allongement au cours de la deuxième semaine de février.

    Uranus se trouve haut dans le ciel sud pendant les premières heures du soir et fait une belle cible à l'aide de jumelles ou d'un télescope. Il se trouve parmi les étoiles de fond du Bélier, à 12 ° au sud de l'étoile la plus brillante du Bélier, Hamal de deuxième magnitude (Alpha [α] Arietis). La planète de magnitude 5,8 brille suffisamment pour voir facilement à travers des jumelles si vous savez où regarder. Mais c'est le défi - peu d'étoiles guides se trouvent à proximité pour faciliter votre recherche.

    Commencez par trouver Hamal et de magnitude 3,8 Alpha Piscium, qui réside dans les Poissons du sud-est. Cette étoile modeste se trouve à 21 ° au sud de Hamal et semble 20% aussi brillante. Utilisez des jumelles pour parcourir ces étoiles et habituez-vous au nombre de champs de vision qui les séparent. Ensuite, estimez leur point médian et laissez tomber 1 ° au sud de cet endroit pour trouver Uranus.

    Quelques autres étoiles se cachent dans les environs d'Uranus. Quatre de ces soleils de 6e et 7e magnitudes forment une ligne légèrement tordue qui s'étend sur 4 ° nord-sud. La planète, qui brille un peu plus que ces étoiles de champ, se trouve juste à l'ouest de la ligne pendant les trois premières semaines de janvier. Le mouvement d'Uranus vers l'est dans ce contexte en fait un cinquième membre de la ligne d'ici la fin du mois.

    jupiterandmars

    Et puis il y avait deux

    Mars est revenu à la vue dans le ciel sud-est avant l'aube fin 2019. Jupiter la rejoint dans la lueur du crépuscule au cours de la seconde moitié de janvier.

    Si vous ne pouvez pas identifier la planète à l'aide de jumelles, dirigez un télescope vers votre carrière présumée. Seul Uranus montre un disque, qui s'étend sur 3,6 "et brille bleu-vert. La couleur distincte se pose parce que le méthane dans l'atmosphère du géant de glace absorbe la lumière du soleil rouge tout en reflétant le bleu. Vos meilleures vues d'Uranus viendront quand il montera haut dans le sud au début soir.

    Une fois qu'Uranus se couche - près de 2 heures du matin heure locale au début de janvier et à minuit tard dans le mois - le ciel reste vide de planètes jusqu'à ce que Mars montre sa face rougeâtre vers 4 heures du matin. son ancien rival, Antares. La planète rouge s'éclaircit de magnitude 1,6 à 1,4 en janvier et semble légèrement plus faible que l'étoile supergéante de magnitude 1,1. Mars passe à 5 ° au nord d'Antares à la mi-janvier.

    Alors que l'aube commence à se lever environ 90 minutes avant le lever du soleil, la planète rouge se dresse à 15 ° au-dessus de l'horizon. Inséré parmi les étoiles de fond près de la frontière Scorpius-Ophiuchus, Mars est un spectacle à voir dans l'obscurité avant l'aube, en particulier le 20 janvier, lorsqu'un croissant de lune décroissant apparaît au-dessus de la planète et d'Antares. Malheureusement, un télescope révèle un Mars sans relief avec un disque de moins de 5 "de diamètre.

    Jupiter réapparaît dans le ciel du matin au cours du second semestre de janvier. Une heure avant le lever du soleil le 22, un mince croissant de lune apparaît à 7 ° en haut à droite de Jupiter. La paire est magnifique contre la lueur du crépuscule. La planète brille à une magnitude de -1,9 et apparaît facilement dans le ciel qui s'éclaircit. La visibilité de Jupiter s'améliore jusqu'à la fin du mois, lorsqu'elle monte de 7 ° au sud-est 45 minutes avant le lever du soleil.

    Saturne est en conjonction avec le Soleil le 13 janvier, coïncidence le même jour que les deux planètes naines les plus brillantes, Pluton et Cérès, atteignent le même jalon. La planète annelée réapparaît avant l'aube le 31, mais à peine. Vous pourriez être en mesure d'attraper sa lueur de magnitude 0,6 à travers des jumelles à seulement 3 ° de hauteur dans le sud-est 30 minutes avant le lever du soleil. De bien meilleures vues attendent les observateurs ce printemps et cet été.

    La Lune plonge dans l'ombre de la Terre le 10 janvier, apportant une éclipse lunaire pénumbrale aux résidents à travers l'Europe, l'Afrique, l'Asie et l'Australie. Au cours d'une éclipse pénumbrale, la Lune passe à travers l'ombre extérieure plus claire de notre planète mais n'entre pas dans l'ombre parapluie plus sombre. (Si vous étiez un astronaute visitant la Lune, vous verriez la Terre éclipser partiellement le Soleil.) L'événement dure de 17h06m à 21h14m UT et culmine à 19h10m UT. Au maximum, 92 pour cent de Luna se trouve dans la pénombre de la Terre, et la moitié sud de la Lune s'assombrira sensiblement.

    Lune montante: Fracastorius fabuleux trouve la vedette

    L'histoire lunaire ne se résume pas à des cratères plus jeunes qui effacent des éléments plus anciens. Par exemple, l'impact massif qui a creusé Mare Nectaris (Mer de Nectar) a affecté le visage de la cratérisation pendant des millions d'années. Le soleil illumine joliment Mare Nectaris le 1er janvier. Trois cratères intrigants du côté ouest de la mer attirent immédiatement le regard, tout comme l'arc blanc brillant de Rupes Altai. Parfaitement centré sur Nectaris, l'arc est une section restante du quatrième bord de ce bassin multiréseau.

    Le jeune cratère Piccolomini pend à l'extrémité sud de Rupes Altai comme une boucle d'oreille. S'étendant sur 55 miles, Piccolomini est assez grand pour qu'il arbore un complexe de pics centraux au lieu d'un seul comme ceux que l'on voit dans les nombreux petits pockmarks qui parsèment les environs. Découvrez également ses murs. Semblable à un trou creusé dans le sable humide sur la plage, beaucoup de matériaux se sont effondrés dans la cavité de Piccolomini. Le côté sud du cratère a plus grâce au terrain instable généré lors de la formation de Rupes Altai.

    Le cercle brisé du cratère de 75 miles de large Fracastorius est d'âge intermédiaire entre Nectaris et Piccolomini. Tout comme l'eau trouve son niveau, la lave aussi, ce qui montre clairement que Fracastorius s'incline vers le nord. Les géologues lunaires ont déduit qu'avant l'inondation finale dans cette région, une plus petite vague de lave s'est élevée à travers les fissures du plancher de Nectaris, s'est solidifiée et a déprimé la partie centrale. Cela a fait basculer le terrain environnant vers le centre de la mer. Soit dit en passant, Fracastorius n'a pas obtenu son nom car il est fracturé; au lieu de cela, il rend hommage à l'astronome, médecin et poète italien du XVIe siècle Girolamo Fracastoro.

    Si vous manquez de voir la Lune le jour du Nouvel An, un éclairage similaire revient le 30 janvier. Regardez les sommets de Rupes Altai et Piccolomini apparaître un à un au fur et à mesure que la soirée progresse. Le Soleil se levant lentement sur ce terrain lunaire accidenté, des points hauts à l'ouest et des points plus bas à l'est s'éclairent à chaque demi-heure qui passe.

    quandrantid

    Montre Meteor: une douche courte mais dynamique

    La première pluie de météores de l'année se classe non seulement parmi les meilleures, mais aussi parmi les moins observées. Bien que les quadrantides puissent produire jusqu'à 120 météores par heure, le temps froid et souvent nuageux de janvier décourage les téléspectateurs. La douche a également un maximum pointu, et le nombre de météores reste au-dessus de la moitié du niveau maximal pendant seulement quatre heures.

    Cette année, cependant, les conditions semblent bonnes. Les Quadrantides culminent avant l'aube le 4 janvier en provenance d'Amérique du Nord, et la Lune légèrement gibbeuse se couche vers 1 h, heure locale. Si le ciel coopère, les observateurs devraient assister à un grand spectacle. Les météores semblent rayonner du nord de Boötes - une zone autrefois occupée par la constellation désormais disparue Quadrans Muralis - une région qui grimpe le plus haut juste avant l'aube.

    PanSTARRS

    Comète PanSTARRS (C / 2017 T2)

    Ce visiteur du lointain nuage d'Oort traverse une belle section de la voie lactée à la frontière entre Cassiopée et Persée.

    Recherche de comète: une performance digne d'une reine

    Ce qui semble se dessiner alors que la comète la plus brillante de l'hémisphère Nord en 2020 commence l'année du bon pied. La comète PanSTARRS (C / 2017 T2) devrait atteindre la 9e magnitude ce mois-ci alors qu'elle traverse les champs d'étoiles le long de la frontière entre Cassiopée la reine et Persée le héros.

    Un télescope de 8 pouces devrait capter l'éclat compact de la comète en banlieue. Augmentez la puissance à 150x ou plus et vous verrez une forme arrondie et un flanc sud bien défini.

    La fenêtre d'observation s'ouvre le 13 janvier, lorsque la Lune se lève environ deux heures après la tombée de la nuit. PanSTARRS se trouve alors à 1 ° au nord de l'étoile de 4e magnitude Eta (η) Persei. Les imageurs tirant à travers un objectif de 70 mm ont deux semaines pour capturer l'éclat de la comète traversant une magnifique toile de fond de la Voie lactée à environ 4 ° au sud des nébuleuses du cœur et de l'âme (IC 1805 et IC 1848, respectivement).

    Mieux encore, PanSTARRS passe à moins de 1 ° au nord du Double Cluster les 26 et 27 janvier. La comète se déplace assez lentement pour que la vue soit encore belle quelques nuits avant et après.

    pathofv

    Une performance exceptionnelle de l'astéroïde le plus brillant

    Vesta brille autour de la magnitude 7,5 en se dirigeant vers le nord-est du royaume aquatique de Cetus la baleine au terrain plus sec d'Aries the Ram.

    Localisation des astéroïdes: Vesta met une baleine de spectacle

    Bien que les astronomes aient découvert trois autres astéroïdes avant 4 Vesta, cet habitant de la ceinture principale brille généralement plus fort que tout autre. Vesta brille avec la lumière d'une étoile de magnitude 7,5 ce mois-ci, et vous devriez avoir peu de mal à la trouver à travers un petit télescope de la banlieue ou avec des jumelles du pays.

    L'astéroïde monte haut dans le ciel de début de soirée de janvier, positionné dans le contexte de la queue de Cetus la baleine. Cette région est suffisamment éloignée de la Voie lactée pour que vous ayez peu de mal à la retirer du ciel de fond. En fait, à l'exception de quatre ou cinq étoiles, ce sera l'objet le plus brillant du champ de vision de votre lunette. Pour le trouver, commencez par le géant orange de 1ère magnitude Aldebaran en Taureau, puis suivez la pointe de l'amas d'étoiles Hyades en forme de V vers l'ouest (à droite) sur environ trois champs binoculaires. Cela vous amènera à la magnitude 2,5 étoiles Alpha (α) Ceti. Déplacer vers le nord d'environ 5 ° à partir de là pour atteindre vos étoiles d'ancrage, Lambda (λ) et Mu (μ) Cet. Le tableau de recherche ci-dessous vous permet ensuite de vous concentrer sur la position de Vesta.

    Pour voir l'astéroïde changer de position au cours d'une seule session d'observation, recherchez-le dans les nuits du 13, 23 ou 27 janvier. Notez d'abord comment il fait une ligne tordue ou un triangle distinct avec quelques étoiles de fond, puis revenez en quelques heures pour trouver un modèle modifié. Les autres soirs, esquissez les quatre ou cinq objets les plus brillants du champ de votre oscilloscope. À votre retour la nuit suivante, Vesta sera la «star» qui a bougé.

    Source: http://www.astronomy.com
    Lien: http://www.astronomy.com/magazine/sky-this-month/2020/01/observe-the-january-sky?utm_source=asyfb&utm_medium=social&utm_campaign=asyfb&fbclid=IwAR3BnxbV11yocRt1E2GPKfTk7C1whOY-Bp-K50BIe03HtpPcqlDqygg-p7I