Actualité Météorologie, Astronomie
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LE 18.01.2021: Actualité de la météo/ À partir de mercredi, risque de plusieurs coups de vent voire de #tempête sur la majeure partie du pays.
- Par Vanessa LAGNAU et Dimitri PAQUIER
- Le 18/01/2021
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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#Vent | À partir de mercredi, risque de plusieurs coups de vent voire de #tempête sur la majeure partie du pays.
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Actualité de l'astronomie du 18.01.2021 / Le radiotélescope d'Arecibo pourrait renaître de ses cendres.
- Par dimitri1977
- Le 18/01/2021
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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Le radiotélescope d'Arecibo pourrait renaître de ses cendres
Nathalie Mayer
Journaliste
Publié le 10/01/2021
[EN VIDÉO] Fin de partie pour le radiotélescope d'Arecibo Le radiotélescope d’Arecibo (Porto Rico). Il avait été mis en service en 1963. Et en novembre 2020, la National Science Foundation (NSF) a annoncé sa nécessaire démolition suite à des ruptures répétées de câbles de support. La fin d’une belle histoire pour cet instrument qui accroche, entre autres, à son palmarès, la première image d’un astéroïde et un message radio envoyé à destination d’une éventuelle civilisation extraterrestre.
Il était 7 h 55, heure locale, le mardi 1er décembre 2020, lorsque le radiotélescope d'Arecibo s'est effondré. Laissant les astronomes orphelins de l'un de leurs instruments fétiches et fer de lance de la recherche. Un mois plus tard, certains imaginent pouvoir le reconstruire. Le gouvernement de Porto Rico a débloqué une première, mais modeste, enveloppe pour soutenir le projet.
Deux câbles rompus. Et finalement, le 1er décembre 2020, la communauté des chercheurs -- et avec elle, tous les passionnés d'astronomie -- assistait, impuissante et émue, à l'effondrement de la plateforme de 900 tonnes qui surplombait l'antenne de 305 mètres de diamètre du mythique radiotélescope d’Arecibo (Porto Rico). La disparition d'un instrument unique, capable de débusquer des exoplanètes et de traquer les astéroïdes géocroiseurs. Mais aussi la fin d'un lieu de culture scientifique qui faisait jusqu'alors la fierté de la population locale. Et qui avait inspiré bien des carrières.
Rapidement, des voix se sont fait entendre pour réclamer la reconstruction du radiotélescope d'Arecibo. Plusieurs pétitions ont été lancées en ligne pour demander à ce que des fonds soient alloués à un projet de nouveau radiotélescope, plus performant encore. Quelques astronomes, parmi lesquels Ray Lugo, le directeur du Florida Space Institute (États-Unis), ont même lancé des études pour un « modèle Arecibo 2 qui surpasse toutes les installations existantes ». Mais il en coûterait quelque 400 millions de dollars.
Alors, l'annonce du gouverneur de Porto Rico, Wanda Vasquez Garced, ce 28 décembre 2020, de débloquer une enveloppe de... huit millions de dollars semble loin du compte. Même si elle affirme que cet effort sera appuyé par d'autres en provenance des États-Unis -- une pétition comptant plus de 100.000 signatures devrait prochainement être transmise à la Maison-Blanche et au Congrès -- et du secteur privé. En attendant, le gouvernement de l'île a déclaré la région « zone historique ».
Le 1er décembre 2020, le radiotélescope d’Arecibo s’est effondré. © National Science Foundation
Du temps nécessaire à reconstruire Arecibo
La National Science Foundation (NSF, États-Unis), toujours responsable des opérations sur le site du radiotélescope d'Arecibo, précise que le processus de financement et de construction d'infrastructures à grande échelle s'étale généralement sur plusieurs années. Il intègre les besoins de la communauté scientifique tout autant que les impacts environnementaux et culturels des projets. Ainsi si la NSF n'exclut pas la possibilité de reconstruire un instrument du côté d'Arecibo, elle estime qu'il est prématuré de commenter un tel projet, un mois seulement après l'effondrement de la plateforme de l'ancien radiotélescope.
Le Congrès américain -- duquel les astronomes attendent un geste -- n'a pas alloué de financement à l'opération pour 2021. Il a toutefois demandé à la NSF d'étudier « s'il faut mettre en place une technologie comparable sur le site, ainsi que d'estimer les coûts associés ».
Le saviez-vous ?
En début de semaine dernière, Wanda Vasquez Garced, alors gouverneur de Porto Rico, déclarait « comme une question de politique publique, sa conviction pour la reconstruction du radiotélescope d’Arecibo et la reprise rapide de travaux scientifique et éducatif de classe mondiale à l’observatoire ».
Mais un nouveau gouverneur vient tout juste de prendre ses fonctions. Pedro Pierluisi a, de son côté, déjà invité les « agences gouvernementales à réduire les coûts en limitant les voyages, en réduisant les contrats avec des tiers et en s’abstenant d’ouvrir de nouveaux postes ». Il a placé la lutte contre la Covid-19 et la relance de l’économie locale parmi ses priorités. Dans ces conditions, difficile de dire ce qu’il adviendra du radiotélescope d’Arecibo…
La NSF rappelle également que l'observatoire d'Arecibo n'est pas fermé. Les recherches sur les données archivées se poursuivent. Des moyens vont être mis en œuvre pour rétablir les opérations sur les autres instruments du site : un télescope de 12 mètres et des installations Lidar.
Avant de songer à reconstruire, il faudra, de toute façon, achever un lourd travail de déblaiement et de sécurisation du site de l'antenne de 305 mètres. Quelques opérations de réparation des dommages environnementaux causés par l'effondrement aussi. De quoi, déjà, puiser dans l'enveloppe de huit millions de dollars allouée par le gouvernement portoricain.
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Actualité de l'astronomie du 18.01.2021 / Pourquoi le champ magnétique terrestre s’inverse-t-il ?
- Par dimitri1977
- Le 18/01/2021
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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Pourquoi le champ magnétique terrestre s’inverse-t-il ?
la rédaction de Futura
Publié le 15/01/2021
Qui n'a pas joué aux explorateurs en tentant de s'orienter avec une boussole ? Depuis le XVe siècle, la propriété d'orientation de ces petites aiguilles aimantées est bien connue des navigateurs. Elle traduit l'existence d'un champ magnétique terrestre, qui, en plus de fournir un moyen d'orientation fiable, protège la Terre et sa biosphère des radiations solaires. Or, le champ magnétique terrestre est loin d'être stable. Les pôles magnétiques ne sont en réalité pas fixes et leur position évolue au fil des années, jusqu'à s'inverser.
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Ces épisodes d'inversion du champ magnétique, lorsque le pôle Nord devient pôle Sud et inversement, ont eu lieu des centaines de fois au cours de l'histoire de la Terre. Mais pourquoi le champ magnétique s'inverse-t-il épisodiquement ? Quelle est l'origine et le moteur de ces inversions ?
Le champ magnétique terrestre, qu’est-ce que c’est ?
Imaginons un gros aimant dipolaire placé au centre de la Terre. Les lignes de force magnétiques ainsi créées représentent ce que l'on appelle le champ magnétique terrestre. Ces lignes de force recoupent la surface de la Terre suivant un angle qui varie en fonction de la latitude. Elles « entrent » de manière verticale au niveau d'un point que l'on nomme « pôle Nord magnétique » et en sortent de la même manière au pôle Sud magnétique. Au niveau de l'équateur magnétique, les lignes de champ sont horizontales. Actuellement, l'axe magnétique est décalé par rapport à l'axe de rotation de la Terre, ce qui veut dire que les pôles magnétiques et géographiques ne correspondent pas. Le pôle Nord magnétique est en ce moment situé en Sibérie et le pôle Sud en Terre Adélie, au large de l'Antarctique.
Si l'image d'un gros aimant dipolaire au centre de la Terre permet en première approximation la compréhension du champ magnétique, son origine est bien plus complexe. Tout se passe au niveau du noyau terrestre, qui fonctionnerait comme une dynamo auto-entretenue. À cause des variations de température en fonction de la profondeur, de la rotation de la Terre et des forces de Coriolis, le fer liquide formant le noyau externe est parcouru de courants de convection importants, structurés en colonnes tourbillonnantes parallèles à l'axe de rotation de la Terre. C'est ce puissant mouvement convectif, créant un effet dynamo, qui donnerait naissance au champ magnétique.
Inversions du champ magnétique au cours du temps
Au début des années 1900, les scientifiques ont découvert que les roches d’origine volcaniques avaient des directions d’aimantation variables. Certaines mesures indiquaient une aimantation dans le même sens que le champ magnétique actuel, d'autres indiquaient une aimantation totalement opposée, créant des « anomalies magnétiques ». De ces observations est née l'idée que le champ magnétique terrestre puisse s'inverser de façon épisodique. Cette hypothèse a été étayée au fil du temps et il existe aujourd'hui des échelles de polarités magnétiques recensant et datant les différentes inversions ayant eu lieu au cours de l'histoire de la Terre.
Ces échelles définissent des périodes de polarité « normales » lorsque le champ mesuré est identique à l'actuel, et des périodes de polarité « inverse » lorsque le champ mesuré est dans le sens opposé. Il apparaît clairement que les inversions ne sont ni régulières ni de durées égales. Les intervalles de temps correspondant à une polarité stable (normale ou inverse) sont appelés chrons et sont numérotés en partant de l'actuel (C0). La durée de chaque chron est extrêmement variable, allant de moins d'un million d'années à plusieurs dizaines de millions d'années (on parle alors de superchron). Leur fréquence est également très chaotique. Le champ magnétique s'est ainsi inversé environ 300 fois au cours des derniers 200 millions d'années. La dernière inversion a eu lieu il y a 773.000 ans.
Échelle de polarité magnétique pour la période récente. © U.S. Geological Survey
L’origine des inversions du champ magnétique terrestre
Grâce aux mesures, on observe que les pôles ne sont pas immobiles et se déplacent. Sur les vingt dernières années, le pôle Nord a ainsi migré de plusieurs centaines de kilomètres et se déplace actuellement d'environ 55 km/an. En revanche, le pôle Sud ne se déplace que de 10 km/an. Ces variabilités, qui font que les deux pôles magnétiques ne sont pas nécessairement situés aux antipodes, sont liées à la dynamique complexe du champ magnétique, qui n'est pas uniquement dipolaire, mais a des composantes multipolaires. Cette multipolarité est liée aux mouvements du fer liquide au sein du noyau terrestre. Des perturbations dans le noyau peuvent modifier les structures convectives et faire apparaître des boucles magnétiques secondaires qui viennent s'ajouter au dipôle principal. Cette composante multipolaire serait capable d'affaiblir temporairement le dipôle terrestre, menant soit à une inversion complète du champ magnétique, soit à un rétablissement des pôles à leur position d'origine après une période « d'excursion ».
Juste avant une inversion, les pôles magnétiques semblent donc suivre des trajectoires complexes et sinueuses à la surface de la Terre, en association avec une diminution drastique de l'intensité du champ magnétique, mais sans que celui-ci disparaisse complètement. Cependant, les mécanismes précis associés aux inversions du champ magnétique sont encore mal connus, et notamment l'origine des perturbations dans le noyau terrestre. Il semblerait dans tous les cas qu'une inversion se déroule sur un intervalle de temps relativement court, de 1.000 à 20.000 ans grand maximum.
Modélisation du champ magnétique terrestre par Glatzmaier et Roberts. À gauche, durant une période calme, la composante dipolaire prédomine. À droite, durant une inversion, on peut voir l’apparition de plusieurs pôles Nord et Sud. © Nasa
L'accélération actuelle du mouvement du pôle Nord magnétique est-elle donc synonyme d'une inversion à court terme ? Rien n'est moins sûr, le pôle Sud restant relativement stable. L'état actuel de nos connaissances ne nous permet en tout cas pas de prévoir quand aura lieu la prochaine excursion ou inversion.
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Actualité de l'astronomie du 18.01.2021 / Peut-on voyager plus vite que la lumière ?
- Par dimitri1977
- Le 18/01/2021
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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Peut-on voyager plus vite que la lumière ?
Nathalie Mayer
Journaliste
Publié le 17/01/2021
La théorie de la relativité restreinte d'Einstein l'affirme : rien ni personne ne peut voyager plus vite que la lumière. À moins que...
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[EN VIDÉO] Kézako : le laser, une incroyable histoire de physique quantique Le laser est né durant les années 1960, depuis il est petit à petit devenu incontournable dans beaucoup d’applications. Unisciel et l’université de Lille 1 nous expliquent durant cet épisode de Kézako le fonctionnement de cette invention révolutionnaire.
Le principe a été énoncé par Albert Einstein au XIXe siècle. Selon lui, il n'est physiquement pas possible de dépasser la vitesse de la lumière dans le vide (environ 300.000 km/s).
D'après la théorie de la relativité restreinte, un objet qui subit une accélération acquiert de la masse. En accélérant jusqu'à atteindre la vitesse de quelque 300.000 km/s, il acquerrait ainsi potentiellement une masse infinie. Or, pour qu'un objet accélère, il faut lui fournir de l'énergie, une énergie d'autant plus importante que l'objet est lourd ! La vitesse de la lumière dans le vide semble donc bien hors d'atteinte...
La vitesse de la lumière peut-elle être dépassée ? Peut-on rajeunir en courant plus vite que la lumière ? Jean-Pierre Luminet répond à ces questions dans le cadre du projet TV Web cinéma Du Big Bang au vivant. © Du Big Bang au vivant, via YouTube
Vitesse de la lumière et effet Cerenkov
En 1958, le physicien russe Pavel Cerenkov décroche le prix Nobel pour la découverte d'un phénomène auquel on a donné son nom. L'effet Cerenkov se produit lorsqu'une particule se déplace plus vite que la lumière... dans un milieu donné. Tout est relatif. Si une particule ne peut pas dépasser la vitesse de la lumière dans le vide, elle peut voyager plus rapidement que la lumière dans certains milieux.
Au cœur du réacteur nucléaire de recherche de l’Oak Ridge National Laboratory, les électrons se déplacent dans l’eau plus vite que la lumière et émettent une lumière bleue. © Genevieve Martin, ORNL, Flickr, CC by-nc-nd 2.0
Comme un avion franchissant le mur du son émet alors un bruit caractéristique, une particule qui dépasse la vitesse de la lumière émet une lumière intense et bleutée, le rayonnement Cerenkov.
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LE 18.01.2021: Actualité de la météo/De magnifiques nuages lenticulaires dans le ciel de Carcassonne
- Par Vanessa LAGNAU et Dimitri PAQUIER
- Le 18/01/2021
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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Mercredi 13 janvier 2021 à 14:55 -
Par Mathieu Ferri, France Bleu Occitanie, France Bleu
Le phénomène a été observé dans le ciel de l'Aude mardi soir. Plusieurs internautes ont pris des photos, publiées sur les réseaux sociaux.
Le phénomène a été photographié à de nombreuses reprises mardi soir. - vincentphotographie.com
Les photos sont saisissantes, et elles illuminent les réseaux sociaux depuis mardi soir. Des nuages lenticulaires étaient visibles au coucher du soleil dans le ciel de l'ouest de l'Aude, autour de Carcassonne. Ces nuages apparaissent quand le vent souffle fort en altitude, et que l'atmosphère est humide. L'association "Suivi Météo Aude 11", qui a relayé sur Facebook et Twitter un photo prise à Villalier, explique c'est le vent de Cers (nord-ouest) qui a permis la formation de ces nuages. Le phénomène a aussi été observé dans le secteur de Trèbes.
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LE 18.01.2021: Actualité de la météo/Extrême Météo En France, chaque décennie depuis 1970 est plus chaude que la précédente.
- Par Vanessa LAGNAU et Dimitri PAQUIER
- Le 18/01/2021
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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En France, chaque décennie depuis 1970 est plus chaude que la précédente. La dernière (2011-2020) marque la plus forte progression observée entre 2 décennies depuis 1900 (+0.59°C). Paris a désormais (thermiquement) le #climat de Bordeaux des années 1970. Strasbourg récupère l'ancien climat de Lyon, Toulouse celui de Marseille etc..
Plus de détails sur l'article de Météo France https://meteofrance.com/.../2021-de-nouvelles-normales...
via twitter François Jobard https://twitter.com/Francois.../status/1350710883543089152
SOURCES EXTREME METEO
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LE 17.01.2021: Actualité de la météo/Météo du lundi 18 janvier : frais, nombreux brouillards le matin A 16h12
- Par Vanessa LAGNAU et Dimitri PAQUIER
- Le 17/01/2021
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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Par Gilles MATRICON, météorologue
Publié le 15/01/21, mis à jour le 17/01/21 à 16h12La perturbation du week-end s'évacue vers l'Europe centrale, mais une autre revient par l'Atlantique. Entre ces deux perturbations, un petit anticyclone se forme sur la France et apporte un temps calme mais nuageux.