Actualité Météorologie, Astronomie
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Le 23.10.2017 Semaine : retour de l'été indien dans le sud
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- Le 23/10/2017
- Dans Actualité de la météo,de l'astronomie et de la sciences à la une du jour
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Après un week-end instable et assez frais, l'anticyclone des Açores revient. Il s'imposera jusqu'en fin de semaine sur la France, assurant un temps sec, généralement bien ensoleillé et de plus en plus doux.
C'est le retour de la douceur qui est le fait marquant de cette semaine. Le vent s'orientera mardi au sud, faisant grimper les températures qui atteindront un niveau digne d'un mois de mai à partir de mercredi sur tout le territoire.
Début de semaine mitigé
Lundi, les nuages domineront sur les ¾ du pays avec quelques averses au nord de la Loire. Mardi, l'anticyclone des Açores apportera une amélioration. Le soleil s'imposera après la dissipation des brouillards sur les 2/3 du pays. Les régions au nord de la Seine conserveront un ciel chargé de nuages menaçants des Hauts-de-France au Grand-Est.
Généralement bien ensoleillé à partir de mercredi
De mercredi à vendredi prochain, la situation évoluera peu. Les hautes pressions s'imposeront sur le pays. Elles apporteront un temps calme et assez bien ensoleillé après la dissipation des brouillards. Mais sur les Hauts-de-France, les vallées du Grand-Est jusqu'au val de Saône, les nuages bas pourront se montrer localement très tenaces. Près de la Méditerranée, le le temps sera également plus nuageux en Languedoc-Roussillon avec le retour des entrées maritimes.
Retour de la douceur
Les températures grimperont tout au long de la semaine. Comprises entre 13 et 18°C lundi après-midi, on attend entre 19 et 24°C de moyenne du nord au sud jeudi et vendredi prochain. Ces températures se situeront 8°C au-dessus des normales de saison. Elles se rapprocheront des niveaux d'un début d'été. Des records de douceur sont même envisagés pour une fin octobre dans le sud-ouest.
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Le 21.10.2017 Le temps prévu pour cette fin de weekend
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- Le 21/10/2017
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Temps mitigé sur toute la france jusqu'à dimanche 20h
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Le 20.10.2017 Une étonnante nouvelle de Mars
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- Le 20/10/2017
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Une météorite martienne va retourner sur Mars
Une météorite venue de Mars et retrouvée dans le Sahara va avoir le privilège de retourner d'où elle vient. Une première ! Ce petit caillou martien a d'ailleurs déjà voyagé plusieurs fois, de la Terre vers l'espace et vice-versa. Quelle aventure...
Une météorite martienne va rentrer chez elle. Que de voyages pour ce petit morceau de roche qui, un jour, a été arraché à la croûte martienne il y a environ 180 millions d'années. Après avoir dérivé dans l'espace interplanétaire, ce caillou a fini par traverser l'atmosphère terrestre et s'échouer dans le désert du Sahara.
Découverte puis authentifiée par le Muséum d'histoire naturelle de Paris, la pierre extraterrestre de 5 g a été ensuite revendue par Luc Labenne, chasseur et collectionneur de météorites, à la Cité de l'espace. Mais son périple ne s'est pas arrêté là. Plutôt que de demeurer dans la collection, la météorite a été confiée à l'astronaute Thomas Pesquet, qui l'a emmenée avec lui à bord de la Station spatiale internationale. Nouvelle traversée atmosphérique pour la météorite. Et encore une autre, à son retour, six mois plus tard.
Le futur rover de la mission Mars 2020. © Nasa, JPL, CalTech
Retour sur Mars avec le rover Mars 2020
Mais ce n'est pas fini. Des chercheurs ont eu l'idée de la rapatrier sur Mars. Cette fois, ce ne sera pas Thomas Pesquet qui la transportera, même s'il serait partant. Ce sera le jumeau de Curiosity, le rover Mars 2020. Mais d'abord, la météorite sera coupée en trois morceaux : l'un restera à la Cité de l'espace, un deuxième sera offert à l'astronaute français « pour le remercier », et le troisième s'envolera en 2020.
« Au total, la pierre de Mars aura traversé quatre fois l'atmosphère terrestre et deux fois l'atmosphère martienne », commente Sylvestre Maurice, de l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap). L'astrophysicien est le père de ChemCam, un des instruments qui équipe l'actuel Curiosity, sur Mars depuis cinq ans. Il a aussi conçu SuperCam qui, lui, équipera Mars 2020, un rover, dont la mission sera notamment de rechercher d'éventuelles traces de vie sur la Planète rouge. « Nous allons faire de la science avec ce petit morceau de météorite martienne, a-t-il expliqué. Il va nous servir à étalonner SuperCam. » D'abord surprise, la Nasa a ensuite acceptée.
Mars est un des sujets abordés par les 100 astronautes réunis depuis lundi à Toulouse pour le 30e congrès mondial des astronautes.
Nasa : revivez 20 ans d'exploration de Mars La Nasa nous invite à revivre en vidéo les temps forts de toutes les missions qui se sont succédé autour de Mars et à sa surface. Ces aventures, variées, couronnées de succès et surprenantes, nous ont beaucoup appris sur la Planète rouge et son habitabilité passée.
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Le 19.10.2017 Un jour, il n’y aura plus qu’un continent sur Terre
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- Le 19/10/2017
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Éruptions volcaniques, tsunamis, tremblements de terre… Notre planète est en constant mouvement et les continents dérivent lentement. Dans plusieurs millions d’années, ils seront à nouveau réunis. Mais où et comment ?
João Duarte est géophysicien à l’Université de Lisbonne, au Portugal. Son travail : imaginer à quoi ressemblera la Terre dans des dizaines de millions d’années. Récemment, il a émis plusieurs hypothèses sur la forme que prendrait le « puzzle » des continents à la dérive, lorsqu’ils seront emboîtés et réunis en un seul bloc, appelé « supercontinent ».
Que désigne exactement le mot « supercontinent » ?
C’est quand 90 % des terres émergées sont rassemblées en un seul bloc. C’est au début du XXe siècle que climatologue et astronome allemand Alfred Wegener a émis, le premier, cette idée de supercontinent.
À l’époque, peu de scientifiques y croyaient, car la tectonique des plaques n’était pas connue. Quand on a découvert l’existence des plaques et de leurs mouvements, à la fin des années 1960, la théorie de Wegener a été reconnue. On a enfin fait le lien entre les tremblements de terre et leur localisation géographique, à la jonction des plaques, tout comme les éruptions volcaniques. On a compris notre planète d’une autre manière….
À quelle époque les continents étaient-ils réunis ?
Il y a eu plusieurs supercontinents, depuis la formation de la Terre. Le dernier en date serait celui qu’on appelle la Pangée. Il serait apparu il y a environ 320 millions d’années. Quand les continents ont commencé à se déplacer il y a environ 250 millions d’années, la Pangée a ouvert l’océan Atlantique et ces derniers continuent aujourd’hui à dériver.
Et quand se rejoindront-ils ?
De nombreux géophysiciens pensent que les supercontinents se forment selon des cycles d’environ 500 millions d’années. Nous sommes actuellement au milieu de ce cycle. Le prochain supercontinent pourrait se former dans 250 à 300 millions d’années.
À quoi ressemblera-t-il ?
On ne peut pas précisément deviner ce qu’il se passera. Les plaques pourraient se rejoindre en refermant l’océan Atlantique, mais elles pourraient aussi se rejoindre en refermant l’océan Pacifique… Généralement les continents se rassemblent là où les océans sont les plus « vieux ». Ces océans les plus anciens montrent alors des signes de subduction [quand les plaques tectoniques s’enfoncent dans le manteau terrestre, NdlR] et se mettent à « couler ». Le Pacifique étant l’océan le plus vaste et le plus ancien formé sur Terre, il y a plus de 200 millions d’années, on peut alors supposer qu’il se refermera lors de la formation du prochain supercontinent. Mais l’Atlantique commence lui aussi à montrer des signes de subduction. On imagine donc que le Pacifique et l’Atlantique pourraient se refermer simultanément et que l’océan Indien s’ouvrirait !
Comment pouvez-vous prédire l’emplacement et la forme du prochain supercontinent ?
C’est difficile. Le supercontinent que nous étudions pourrait bien se retrouver au niveau de l’océan Arctique ou encore le long de l’équateur… Nous n’arrivons pas encore à parfaitement comprendre les forces qui dirigent les plaques tectoniques. C’est une théorie très récente, ce qui rend ces phénomènes compliqués à étudier, d’autant qu’ils se produisent sur des périodes extrêmement longues.
Pour nous aider, nous utilisons un logiciel « open source » [dont le code est en accès libre, NdlR] nommé GPlates. Il permet de manipuler les plaques tectoniques, de tester différentes hypothèses de mouvements à venir. Nous avons d’autres logiciels permettant de modéliser la Terre et manipuler sa géologie, mais cela nécessite des ordinateurs très puissants et la principale difficulté est de pousser ces tests sur des échelles temporelles très longues. C’est un travail très technique que nous couplons avec un travail de terrain comme les études géologiques des volcans ou des chaînes de montagnes.
Quelles conséquences cela aurait-il sur le climat et la vie sur Terre ?
Si le supercontinent se formait par exemple au niveau de l’Arctique, cela entraînerait une très longue période de glaciation de la Terre. Cela s’est déjà produit il y a plus de 600 millions d’années, c’est l’hypothèse de la Terre « boule de neige », une époque où la planète était entièrement gelée et où il n’y avait presque pas de vie.
Une telle extinction de masse pourrait également se produire si tous les continents se regroupaient le long de l’équateur. L’intérieur des terres serait alors très sec, comme un désert géant, car aucun air humide n’y pénétrerait. La biodiversité est totalement contrôlée par la tectonique des plaques : elle fait apparaître de nouvelles espèces, en fait disparaître certaines, et force les autres à s’adapter. S’il n’y avait pas de tectonique des plaques, il n’y aurait pas de vie.
Si le supercontinent se formait au niveau de l’océan polaire Arctique, la Terre pourrait connaître une très longue période glaciaire. (Photo : Nasa / JPL / Eric Rignot)
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Le 18.10.2017 MÉTÉO ALERTE ORANGE Episodes cevenols Mercredi et Jeudi.
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- Le 17/10/2017
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Situation
Un vaste système dépressionnaire s'installe sur le proche Atlantique tout en se prolongant vers la péninsule ibérique et les Baléares. Dans ce contexte, un conflit de masse d'air s'opère entre l'air frais venu de l'Atlantique et l'air chaud et instable remontant de Méditerranée. Au contact des Cévennes, de fortes pluies à caractère orageux stationnent entre mercredi et jeudi et engendrent des cumuls de pluie importants. Il s'agit toutefois, d'un épisode de fortes précipitations classique à cette période de l'année.
Observation
L'épisode de fortes pluies n'a pas encore débuté.
Evolution
Le temps se dégrade dès mercredi matin sur le Languedoc et les Cévennes avec des pluies faibles et éparses en plaine. Ces précipitations prennent un caractère...
1er épisode cévenol de l'automne
1 DÉPARTEMENT EN ALERTE ORANGE
HÉRAULT (34).
3 DÉPARTEMENTS EN RISQUE IMPORTANT
ARDÈCHE (07), GARD (30), LOZÈRE (48).
Situation
Un vaste système dépressionnaire s'installe sur le proche Atlantique tout en se prolongant vers la péninsule ibérique et les Baléares. Dans ce contexte, un conflit de masse d'air s'opère entre l'air frais venu de l'Atlantique et l'air chaud et instable remontant de Méditerranée. Au contact des Cévennes, de fortes pluies à caractère orageux stationnent entre mercredi et jeudi et engendrent des cumuls de pluie importants. Il s'agit toutefois, d'un épisode de fortes précipitations classique à cette période de l'année.
Observation
L'épisode de fortes pluies n'a pas encore débuté.
Evolution
Le temps se dégrade dès mercredi matin sur le Languedoc et les Cévennes avec des pluies faibles et éparses en plaine. Ces précipitations prennent un caractère plus continu sur le relief des Cévennes en se prolongeant l'après-midi.
C'est en soirée et nuit que les précipitations se renforcent nettement en prenant un caractère orageux. Les pluies les plus intenses se produiront dès lors sur les contreforts des Cévennes (massif de l'Espinouse, de la Seranne, Causse Noire...) avec des intensités qui atteindront 15 à 20 mm par heure. En plaine languedocienne les intensités seront généralement plus faibles, entre 5 et 10 mm par heure.
Dans la journée de jeudi, les pluies continues perdront leur caractère orageux. Les intensités seront moins importantes. En fin de journée, les pluies faibliront nettement avant une possible réactivation dans la nuit. Le communiqué spécial pourrait alors être prolongé.
Sur l'ensemble de l'épisode on attend :
- des cumuls de pluie de l'ordre de 100 à 150 millimètres sur les Cévennes, localement 175 millimètres ce qui équivaut à 15 jours de précipitations.
- un ruissellement important sur les sols déssechés dans un contexte de sécheresse installée depuis plusieurs mois. Des inondations localisées pourraient se produire dans les points bas.
- des crues modérées étant donné le niveau très bas des cours d'eau
- une activité électrique assez importante dans la nuit de mercredi à jeudi -
Le 18.10.2017 Demain : début d'un épisode cévenol au sud
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- Le 17/10/2017
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De l’instabilité remonte de l’Espagne avec des averses localement soutenues sur la moitié ouest du territoire. Parallèlement, un épisode cévenol se met en place au sud de la France.
FRANCE
Sous l’influence d’une goutte froide sur l’Espagne, des averses remontent entre les Pyrénées et les côtes de la Manche tout au long de la journée. Le ciel est donc plus nuageux et les conditions plus humides sur la moitié ouest, tandis qu’à l’est, les conditions agréables sont toujours en place. En fin d’après-midi, les averses peuvent devenir orageuses sur les Pyrénées avec de fortes précipitations attendues. Les pluies peuvent s’intensifier également en direction des Cévennes avec le début d’un épisode cévenol.
REGIONS
De la Nouvelle-Aquitaine à l’Occitanie, les averses sont plutôt rares en première partie de journée de l’Aquitaine au midi toulousain. Sur les régions cévenoles, les pluies ont lieu tout au long de la journée et sont faibles à modérées. En fin de journée, ces pluies s’intensifient sur les Cévennes mais également sur les Pyrénées. Ces averses peuvent prendre un caractère orageux à l’approche de la soirée sur les régions pyrénéennes.
Des Pays de la Loire jusqu’à la Normandie en passant par la Bretagne, le ciel est souvent nuageux et les averses se déclenchent tout au long de la journée. Elles restent faibles avec des cumuls peu importants.
Des Hauts-de-France jusqu’au Grand Est en passant par l’Île-de-France, les brouillards se forment en fin de nuit et sont donc présents en matinée. Ils se dissipent avant la mi-journée et laissent la place à un ciel voilé.
De la Bourgogne-Franche-Comté à la région PACA, les nuages sont nombreux dans la basse vallée du Rhône. Ils resteront nombreux tout au long de la journée. Partout ailleurs, les conditions sont ensoleillées avec un ressenti agréable.
TEMPERATURES
En matinée, la douceur est toujours d’actualité vers le sud-ouest et plus précisément sur le littoral aquitain avec 15 à 16°C. Partout ailleurs, les températures sont majoritairement de saison. Au cours de l’après-midi, l’ambiance se radoucie mais plus difficilement que ces derniers jours, en raison de la couverture nuageuse plus abondante. Les températures plafonnent à 17°C à Renne, 18°C à Lille, 21°C à Paris et 23°C à Avignon. La douceur, voire la chaleur, est toujours présente dans le sud-ouest même si les températures baissent par rapport à la veille, avec 23°C à Arcachon et 26°C à Auch.
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Le 18.10.2017 Demain et Jeudi matin Episode cévenol sur l'Hérault : jusqu'à 200 mm près des reliefs
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- Le 17/10/2017
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Une goutte froide viendra s'isoler en cut-off sur l'Espagne en se dirigeant vers les Baléares. Celle-ci va accentuer le dynamisme sur notre région avec des remontées pluvio-orageuses en provenance de Méditerranée. Dans le même temps, une méso-dépression de surface va se constituer sur le Roussillon. Celle-ci induira un flux généralement orienté au Sud-Est qui viendra couper perpendiculairement le flux géostrophique orienté au Sud-Ouest.
Cette situation est favorable à la constitution de pluies orageuses durables près des reliefs. L'instabilité de la masse d'air sera suffisamment importante pour supporter la genèse et le maintien de ces orages. La différence avec les modélisation précédentes, c'est que le flux de basses couches aurait tendance à s'orienter au Sud-Est. Celui-ci serait alors plus favorable au département de l'Hérault en ce qui concerne la mise en place de l'épisode pluvio-orageux. Mais les incertitudes restent importantes sur l'orientation précise de ce flux. Un vent d'Est enverrait les pluies sur le Roussillon, celui de Sud-Est pour l'Hérault et s'il s'oriente au Sud, c'est le Gard qui serait concerné. A l'heure de rédaction de cet article, le point de convergence reste le département de l'Hérault et, dans une moindre mesure, les Corbières maritimes.
Dans ces conditions, le Gard, la vallée-du-Rhône et plus largement la PACA resteraient en marge des plus fortes précipitations, si ce n'est l'extrême Ouest du Gard. Après analyse de nos différents modèles, nous vous proposons une carte estimant les cumuls de précipitations sur l'ensemble de l'épisode, soit dès demain et ce jusqu'à jeudi en fin de journée.
Modélisation en video du Model Arome des précipitations:
Le 17.10.2017 Demain et Jeudi matin Episode cévenol sur l'Hérault : jusqu'à 200 mm près des reliefs.
Un doute subsiste sur les plaines de l'Hérault, l'Ouest Gardois ainsi que les Corbières maritimes sur les lames d'eau notamment lors du passage potentiellement orageux dans la nuit de mercredi à jeudi. Sur l'ensemble de l'épisode nous pourrions atteindre voire dépasser les 200 mm. Ces cumuls restent classiques pour un épisode cévenol.
Ces précipitations pourront faire faiblement réagir certains cours d'eau de l'Hérault mais nous précisons que la réserve est importante au vu de l'exceptionnelle sécheresse que nous subissons. De ce fait, aucune crue majeure n'est attendue. Le risque principal réside en la formation de ruissellements sous les plus fortes intensités pluviométriques, notamment dans les zones urbaines.